The Tutorial Is Too Hard - Chapitre 59
Chapitre 59 – Quand y’en a plus y’en a encore
Ugh… putain. Je savais que ça arriverait. Cette foutue difficulté Enfer ne me laisse jamais tranquille.
Je n’ai pas arrêté de bouger pendant que je gémissais intérieurement.
[Kiiiiaaaaak !]
Pourquoi dois-je subir tous ces ennuis à cause de ces bâtards d’orangs-outans ?
Courir dans la jungle aux bois denses est plus difficile que je ne le pensais. Le sol est cahoteux et glissant. De plus, il est facile de trébucher sur les racines des arbres. La vue est complètement couverte par les feuilles. Il est difficile de voir quoi que ce soit à plus de 10 mètres.
J’aimerais pouvoir me battre avec eux un moment et mettre fin à ce cercle vicieux.
Malheureusement, les orangs-outans n’étaient pas d’accord. Après avoir tué l’orang-outan rencontré en premier, j’ai tué les autres orangs-outans qui avaient accouru après avoir entendu le rugissement de celui-là. Ces monstres ont également rugi avant de mourir, et d’autres orangs-outans sont alors arrivés. Ce cycle s’est répété à l’infini. Le problème, c’est qu’après avoir confirmé la différence de force, ces salauds ne se précipitaient même plus sur moi. Gardant leurs distances, ils hurlaient au loin pour m’ennuyer. Lorsque je semblais relâcher un tant soit peu ma concentration, un ou deux d’entre eux tentaient des attaques surprises comme s’il s’agissait d’escadrons suicides. Ils se sont dispersés et ont fui lorsque je me suis approché d’eux.
Ces connards n’ont-ils même pas l’instinct de survie ? Les monstres orangs-outans ont volontiers sacrifié leur vie pour perturber ma concentration et mon repos.
Ainsi, la situation frustrante s’est poursuivie pendant près d’un jour, et je n’ai pas eu d’autre choix que de m’enfuir. S’ils étaient extrêmement faibles, je pourrais les battre à mort un par un, mais ils ne le sont pas.
Tous les orangs-outans ont les capacités de combat nécessaires pour vivre au 12ème étage de la difficulté Enfer. Ils ont de gigantesques faux au bout des bras, et ils sont très rapides. Ils sont également très intelligents.
Ils me collent aux basques et me poursuivent comme des chasseurs chassent des animaux sauvages. Même si je mets de la distance entre nous en utilisant les Ailes de Talaria et Blink, ils parviennent à me rattraper. J’ai volé à basse altitude pendant très peu de temps, en essayant de ne pas attirer l’attention des autres monstres de la jungle. C’est pourquoi je n’ai pas réussi à semer les orangs-outans. Malgré tout, je ne veux pas rencontrer de nouveaux dangers en volant haut trop longtemps.
Comparés aux deux dinosaures que j’ai rencontrés au 12ème étage, les orangs-outans ne représentent pas une grande menace. C’est juste qu’ils sont nombreux et intelligents. Les orangs-outans ont déjà établi un large périmètre pour m’encercler. Ils déplacent le périmètre en fonction de mes mouvements, si bien que je ne peux pas m’échapper de la formation.
Bon sang de bonsoir. Je me sentirais mieux s’ils se jetaient sur moi par centaines en ce moment même. Va-t-il falloir que je fasse semblant de m’effondrer après avoir été blessé pour que ces salauds baissent leur garde et m’attaquent ?
Ah, il y en a une autre. La raison pour laquelle il est si difficile de faire face à ces orangs-outans.
Chacun de ces bâtards possède des compétences uniques.
Il semblerait que ce ne soit pas quelque chose de spécial pour les monstres orangs-outans. Il semblerait que ce soit la particularité de cette jungle.
Les deux dinosaures géants que j’ai rencontrés plus tôt utilisaient une barrière et un souffle ardent. C’était tout à fait inattendu. Ils étaient en plein combat physique, mais tout à coup, ils utilisaient des techniques magiques.
Cela n’a aucun sens.
Peu importe comment je vois les choses, ce sont des compétences. Tout comme je les ai obtenues et utilisées dans le Tutoriel, ces créatures ont chacune une compétence.
Le premier orang-outan a une compétence d’invisibilité. Le second utilise une compétence de renforcement physique et une attaque magique de type vent.
Je ne sais pas quel bâtard va lancer quel type d’attaque. Ça devient vraiment compliqué. Bon sang de bonsoir. Si seulement l’environnement était plus familier… Non… Si seulement l’environnement était plus ouvert…
[Kiiaaaaaooo !]
Un orang-outan qui se cachait dans les buissons a sauté devant moi. Il semblait se cacher et attendre le long de mon itinéraire de fuite.
Je savais depuis le début que tu te cachais là-dedans.
Puuk.
Parallèlement à ce son, ma main droite a transpercé la poitrine du monstre. Ensuite, j’ai donné un coup de pied à l’autre monstre orang-outan qui s’est approché de moi tardivement.
[Kiiiiaaaak !]
Celui que j’ai frappé a roulé sur le sol. Lorsque ses faux ont touché le sol, la terre s’est tachée de noir et des étincelles ont jailli.
… Qu’est-ce que c’est ? De l’électricité ? Es-tu Pikachu ? Le monstre orang-outan essayait de se relever rapidement. J’ai recommencé à courir après avoir envoyé sa tête voler avec le tranchant de ma main.
Bon sang… vous êtes des connards agaçants.
Je crois que j’en ai tué plus d’une centaine. Combien en reste-t-il au juste ?
Comme ils continuaient à m’embêter par petits groupes de deux ou trois, je n’ai pas pu déterminer leur nombre exact.
Tout en courant, j’ai aperçu une grande falaise que l’on pouvait distinguer à travers les branches d’arbres. Il faut que je réussisse à l’atteindre.
Quand j’y serai, je devrais sauter en utilisant Blink et les Ailes de Talaria.
Ces orangs-outans fous n’ont pas de mains. Ils ont des faux à la place des bras. Ils ne peuvent probablement pas me poursuivre en escaladant la falaise.
Même s’ils parviennent à atteindre le sommet de la falaise en en faisant le tour sans prendre de pause, je serai déjà loin.
Le problème est de savoir combien de temps il me faudra pour atteindre cette falaise. Elle semble assez éloignée. Une demi-journée… ou bien la journée complète, si cela prend longtemps ?
J’ai regardé le monstre orang-outan au loin qui me fixait du regard et j’ai claqué la langue.
Wow… C’est vraiment excessif. Même si je ne veux pas jurer, je ne peux pas m’empêcher de le faire. Ces fils de pute.
Vous n’en avez pas eu assez ? Ils ne savaient pas quand s’arrêter.
La tactique de guérilla de ces parfaits crétins se poursuivra pendant deux jours. Je pensais que j’arriverais bientôt à la falaise, mais je n’ai pas l’impression de m’en approcher, bien que je sois allé dans cette direction.
La falaise était immense. La jungle était vaste, s’étendant au bout de l’horizon. De plus, mon champ de vision était bloqué par une forêt luxuriante. À cause de tous ces éléments qui aggravaient la situation, je ne pouvais pas mesurer avec précision la distance qui me séparait de la falaise.
Maintenant, je me rapproche vraiment de la falaise, mais je perds peu à peu confiance en ma perception des distances.
Ces deux derniers jours, je n’ai rien mangé ni bu. Bien sûr, je n’ai pas dormi non plus. En fait, le repos n’est pas le vrai problème. Je n’ai même pas eu le temps de faire caca.
“Hé, bande de crétins ! Vous allez prendre la responsabilité si je chie dans mon pantalon ?”
Bien sûr que non. Bande d’irresponsables. J’ai utilisé la compétence Cri d’âme et j’ai crié, mais ça n’a rien apporté.
Depuis que j’ai tué tous les orangs-outans près de moi en les provoquant avec la compétence Cri d’âme, ils rôdent juste au-delà de la portée de la compétence.
Bien entendu, les escadrons suicides continuent leurs escarmouches périodiquement.
À quel point ces êtres sont-ils intelligents ? La technicité du périmètre formé par les orangs-outans n’est pas à prendre à la légère. J’ai l’impression d’avoir une expérience indirecte de ce que l’on ressent à l’intérieur de la formation des mille milles décrite dans les romans Murim.
Il y a des pièges et des embuscades ici et là le long de mon chemin. L’intervalle entre les embuscades est particulièrement agaçant. D’autres me lancent des regards ou des cris au loin, ce qui ne fait qu’ajouter à ma frustration.
Et ce n’est pas tout. J’ai essayé plusieurs fois d’échapper à la formation en utilisant l’esprit du vent et en changeant soudainement de direction. Mais j’ai échoué à chaque fois. Il semble qu’ils aient formé un cercle complet autour du périmètre. En plus de cela, il y a plusieurs couches. Au moins quatre couches, il me semble.
Est-ce seulement possible ? Alors que nous sommes dans une jungle où je peux à peine voir à plus de 10 mètres ? Comment un si grand nombre de monstres peuvent-ils se déplacer avec autant de justesse dans un endroit comme celui-ci ?
C’est impossible, à moins qu’il n’y ait une sorte de tour de contrôle où l’on pourrait observer l’emplacement de tous les orangs-outans et le mien, ainsi qu’une vue complète du terrain environnant, afin de mettre en place des stratégies.
C’est au point où je me demande si ces salauds ont vraiment une technologie de pointe et qu’ils disposent de satellites et de moyens de communication radio avancés.
S’agit-il d’une compétence ?
C’est plausible. Ces salauds ont chacun une compétence spéciale. La plupart du temps, il s’agit de compétences directement utiles au combat. Cependant, à l’instar de l’invisibilité du premier orang-outan, ils ont tous des compétences extraordinaires.
Si certains d’entre eux avaient des compétences qui leur permettaient d’observer le terrain depuis le ciel et de communiquer avec tous les orangs-outans de la jungle… Et s’ils avaient un commandant capable de les diriger à l’aide de ces compétences…
C’est une explication plausible. C’est aussi une explication plausible qui ne résout rien pour moi.
J’y ai réfléchi en évitant l’embuscade tendue par les orangs-outans qui sautaient des branches de l’arbre au-dessus de moi et je leur ai écrasé la tête sur le sol.
Si ma théorie est vraie, je ne pense pas pouvoir échapper à cette formation.
Organisons les choix qui s’offrent à moi.
Trouver la tour de contrôle de l’ennemi et tuer son commandant. Utiliser les Ailes de Talaria et s’enfuir en volant à haute altitude. Passer par-dessus la falaise.
La première option est impossible. La seconde est trop dangereuse. Vu la portée de la formation de ces salauds, je vais probablement devoir voler pendant un bon moment avant de pouvoir m’en échapper. De plus, si j’essaie d’échapper à ces orangs-outans agaçants et que je tombe sur un de ces pseudo-dragons, le problème ne fera que s’aggraver.
En fin de compte, il ne reste plus que la troisième option, celle de passer par-dessus la falaise.
[Kim Min-huk, 30ème étage : Hey. Vous êtes occupé ?]
[Lee Ho-jae, 12e étage : Oui, je le suis. Qu’est-ce qu’il y a ?]
J’ai lancé une pierre à un orang-outan qui était couché sous les buissons pendant que je répondais.
[Kim Min-huk, 30e étage : J’ai reçu une info bizarre. Ce n’est pas urgent, je te parlerai plus tard].
C’était pour quoi faire ? Tu me laisses en plan. J’ai grossièrement chassé mes pensées concernant le message et je me suis à nouveau concentré sur ma course.
Enfin ! Après avoir couru et couru, avant que je m’en rende compte, la falaise semblait plus proche. Maintenant, je la trouve vraiment proche.
J’ai esquivé au hasard les attaques suicides des orangs-outans qui se jetaient sur moi. Je me suis servi de Blink à plusieurs reprises pour me déplacer.
[Ailes de Talaria]
J’ai utilisé les Ailes de Talaria dès que je me suis retrouvé dans les airs. L’effet de vol des Ailes de Talaria a été activé. C’est ainsi que j’ai commencé à voler. Enfin, je suis libre. Je n’en peux plus de ces salauds !
[Kiaaak. Kiiaaaaak!]
Ces bâtards me criaient dessus en me regardant voler vers le ciel. Je leur ai adressé un bon poing serré et je me suis concentré sur mon vol.
Près de la falaise, je volais en prenant lentement de l’altitude. J’avais intérêt à ce qu’il n’y ait pas de dinosaure comme ceux que j’avais rencontrés le premier jour.
Dès que j’ai atteint le sommet de la falaise, j’ai vu un vaste espace ouvert. Il y avait aussi des orangs-outans. En un coup d’œil, il semblait y en avoir plus d’un millier.
Qu’est-ce qu’ils font ici ? Je réfléchis à cela en atterrissant au bord de la falaise.
Mille… Deux… Trois mille… En plus, il y en a qui sont bien plus gros que les orangs-outans que j’ai vus jusqu’à présent.
Pourquoi sont-ils tous là ? Je suis heureux qu’ils soient tous réunis au même endroit. Je suppose que je peux les laisser ici et descendre la falaise en volant à nouveau.
J’ai compris pourquoi ils étaient rassemblés ici après que l’orang-outan à l’avant a agité son bras.
[Les Ailes de Talaria sont scellées temporairement.]
Oh… Je n’avais même pas pensé que c’était possible.
Préparer leurs forces au sommet de la falaise en fonction de ma direction actuelle et sceller ma capacité de vol quand j’arriverai au sommet…
Ces macaques sont vraiment très intelligents.
[Kiiiiaaaaa!]
[Kiiiiaaaak!]
Les innombrables orangs-outans réunis dans la prairie ont poussé des rugissements. Leurs cris contenaient de la vengeance, de l’animosité et de la médisance.
Putain… On dirait qu’ils sont excités.
Il y a environ trois mille monstres orangs-outans, et ma capacité de vol est scellée. La différence de potentiel de combat est écrasante. C’est un combat que je ne peux pas perdre.
“Vol d’âme”.
[Vol d’âme ( Niv.5)]
Description : Vous avez obtenu un résultat surprenant qu’aucun Dieu du Panthéon n’aurait cru possible. Un Dieu sans nom, qui souhaite cacher sa véritable identité, vous a donné ce pouvoir. Lorsque vous l’activez, les ennemis à portée sont marqués dans leurs âmes et se vident lentement de leur énergie. Lorsque vous tuerez l’ennemi marqué, vous absorberez son âme, ce qui guérira votre corps.
C’est la compétence que j’ai obtenue après avoir franchi le sixième étage, qui m’a fait passer par les pires épreuves possibles depuis que je suis entré dans le Tutoriel. Depuis, cette compétence m’a permis d’aller jusqu’au 10ème étage en toute tranquillité.
Cette compétence réduit la force des ennemis dans le rayon d’action, et il y a un effet de guérison après les avoir vaincus. De plus, les ennemis perdent de plus en plus de force avec le temps. Depuis, un groupe de monstres de force moyenne n’est pas de taille à m’affronter.
En plus de cela, j’ai maintenant une nouvelle compétence passive.
[Persévérance ( Niv.1)]
Description : C’est un cadeau du Dieu de l’aventure. Ce pouvoir vous donnera de la force lorsque vous ferez face à des adversaires redoutables, en particulier dans les moments les plus difficiles. Vos capacités de combat augmentent légèrement en fonction du nombre et de la puissance de vos ennemis. Vos capacités de combat augmentent légèrement en fonction du nombre de camarades qui vous épaulent. Vos capacités de combat augmentent légèrement en fonction de votre épuisement et de vos blessures. Les effets peuvent se superposer en cas de situations multiples et simultanées.
Attributs supplémentaires : Vous bénéficiez d’une certaine résistance aux attaques mentales et au stress.
C’est l’occasion rêvée de tester les effets de la compétence Persévérance. Le Vol d’âme commençait à drainer les forces des monstres, qui commençaient à paniquer. Je les ai observés et j’ai affiché un grand sourire.
C’est bien que vous ayez su lire l’esprit de l’adversaire et que vous ayez tendu un piège, mais… Prendre des risques peut être dangereux. Saviez-vous que la tactique la plus sûre pour gagner est de continuer à utiliser la même tactique une fois que vous avez pris le dessus ?
“Ne pensez même pas à fuir ! Venez à moi, bande de petites salopes !”
J’ai utilisé le Cri de l’âme dès que j’ai remarqué que certains d’entre eux hésitaient et fuyaient.
[Attributs supplémentaires : Les ennemis qui ne sont pas aussi puissants que vous ne peuvent pas ignorer votre cri et s’enfuir].
Vous ne pouvez pas fuir à cause de l’effet de provocation du Cri de l’âme. Où pensez-vous aller ?
Comme il y en a un grand nombre, cela prendra un certain temps. Mais c’est le seul inconvénient. Je ne m’inquiète pas du tout de l’issue de cette bataille. Je suis un expert quand il s’agit de massacrer un grand groupe de monstres.
[Kiiiaaaak ! Kiiak !]
Leurs rugissements bestiaux fusèrent. Ils lançaient diverses attaques de compétences à moyenne portée.
[Concentration de combat]
Ayant confirmé la trajectoire de leurs attaques,
[Blink]
J’ai pénétré profondément dans le groupe et j’ai balancé ma main enveloppée de mana. Les corps des orangs-outans étaient coupés à chaque fois que je balançais ma main, et le sang jaillissait. Chaque fois que je récoltais une mort, l’effet du Vol d’Âme me la rendait sous forme d’énergie.
Le bain de sang qui avait commencé ainsi s’est poursuivi jusqu’à ce qu’il ne reste plus un seul d’entre eux encore debout sur le plateau.
J’ai lavé le sang de mon visage sous la pluie fine. Sur le terrain, il n’y avait que moi, du sang et des cadavres d’orangs-outans. Je pense que cet endroit va bientôt dégager une horrible odeur d’hémoglobine.
Heureusement, la pluie tombe en ce moment. Elle fera disparaître quelque peu cette odeur. Pour l’instant, quittons cet endroit. Parmi les nombreux cadavres qui jonchaient le sol, j’ai ramassé une jambe coupée et j’ai ouvert les Ailes de Talaria. Le sceau sur les Ailes de Talaria n’a été annulé qu’après que j’ai tué le lanceur de sorts.
J’ai commencé à planer après avoir sauté de la falaise, et j’ai atterri sur un endroit approprié après avoir plané pendant environ dix minutes.
Maintenant, je suis de retour à mon point de départ. Pour souligner quelques changements, je suis assez fatigué et je tiens la jambe d’un orang-outan.
Que dois-je faire maintenant ?
Je pourrais penser à manger, à dormir, à trouver un campement et à me rassembler. Mais je les ai toutes ignorées. Il me restait une chose plus importante à faire.
Je dois d’abord chier.