Auteur : Morning Star LL

Traductrice : Moonkissed

Team: World-novel

« Owooooo, owoo, owoo ! »

« Qu’ils aillent se faire foutre ! »

Les joueurs levèrent leurs armes avec excitation, et répondirent vigoureusement à l’appel de l’administrateur.

Satisfait de leur attitude, Chu Guang hocha la tête et fit un signe de la main.

Un groupe de personnes passa la porte nord du parc, suivit les décombres du viaduc jusqu’au nord, et attaqua directement le camp des maraudeurs à quatre kilomètres de là.

Il s’agissait d’une usine de pneus abandonnée.

À l’extérieur du mur se trouvaient de simples fortifications, et d’étranges motifs et symboles étaient barbouillés de crasse sur le mur.

[La Taupe en Fuite] baissa la voix et chuchota à [PUBG de Minuit] à côté de lui. « Ces graffitis me rappellent The Forest. »

« The Forest ? »

« Un jeu sur PC. »

« Je sais… Mais ces gens ne vivent pas dans la forêt. Nous vivons dans la forêt ? »

« … »

Bien que la force principale de l’ennemi ait été complètement anéantie, Chu Guang ne la prenait toujours pas à la légère, continuant de surveiller attentivement les environs et les pièges possibles.

Mais ce qui était intéressant, c’était que lorsque Chu Guang et son groupe arrivèrent, ils découvrirent que la porte du camp des maraudeurs était en fait ouverte.

Au même moment, lorsqu’il confirma que le camp du Clan MainSanglante était tombé, une fenêtre pop-up bleu clair apparut devant lui.

[Mission terminée.]

[La permission de niveau B2 du Bunker 404 a été autorisée, et la serrure peut être déverrouillée après 24 heures.]

[Compte à rebours : 23h 59m 59s]

‘Tsk, je dois attendre 24 heures.’

Qu’à cela ne tienne.

Chu Guang n’était pas pressé de toute façon. Il avait encore beaucoup de choses à régler avant d’explorer l’étage B2.

Ces choses incluaient les captifs et les trophées.

Au même moment, Hein, qui attendait anxieusement à la porte du camp, poussa un soupir de soulagement en voyant Chu Guang.

Si la personne qui venait n’était pas lui, sa vie serait en danger.

« Je pense toujours que ce n’est pas un bon choix d’intervenir dans les disputes des locaux. » Tenant un fusil d’assaut carré, la mercenaire musclée regarda son employeur et rappela : « Nous n’avons aucun contrôle sur la zone. Leur seule pensée peut déterminer notre destin. »

« Je suis d’accord avec le point de vue de Lena, » un autre mercenaire robuste jeta un coup d’œil au groupe de personnes à l’extérieur, fronça les sourcils, et dit, « S’ils choisissent de tous les avoir, que comptez-vous faire. »

Il s’appelait Wen, et sa force était la plus grande des trois.

Concernant les opinions de ses subordonnés, Hein dit nonchalamment . « C’est effectivement un problème, mais ce n’est pas un gros problème. Nous pouvons faire des affaires avec des maraudeurs, et encore moins avec eux ? Croyez-moi, ce n’est pas une mauvaise chose de passer à un partenaire commercial relativement respectueux des règles. »

« Vraiment ? » La mercenaire siffla et se montra taquine : « Je ne pense pas qu’ils soient beaucoup plus civilisés que les maraudeurs. »

« D’accord, taisez-vous, voulez-vous ? Restez ici et attendez-moi ! »

Ignorant ses deux gardes du corps, Hein descendit rapidement les escaliers et sortit par la porte avec excitation, comme s’il connaissait Chu Guang depuis de nombreuses années.

« Mon cher ami, tu ne sais pas à quel point j’étais excité quand je t’ai vu apparaître ici sans incident ! »

« Moi aussi ! » Chu Guang sourit faiblement et jeta un coup d’œil à la porte à côté de lui, légèrement surpris. « Tu as abattu ce bastion tout seul ? »

Hein dit avec un sourire. « Bien sûr, je ne suis pas seul. À moins qu’il ne s’agisse d’un pauvre bougre ou d’un joueur qui n’a pas un sou en poche, personne ne viendra jusqu’ici pour faire des affaires seul. Bon, arrêtons de parler à la porte. Entre en premier ! »

« Je te présenterai mes deux gardes du corps et assistants dans un moment. C’est grâce à eux qu’ils sont là cette fois-ci, sinon, notre plan n’aurait pas pu se dérouler aussi bien ! »

Hein invita Chu Guang et son groupe à entrer poliment tout en décrivant comment il avait trompé le chef du Clan MainSanglate et comment il avait capturé ce bastion avec ses hommes qui se cachaient à l’extérieur alors qu’ils ne faisaient pas attention.

Pour être honnête, Chu Guang n’était pas intéressé par ses « actes héroïques ». Peu importe ce qu’il disait, la scène ne pouvait pas être plus excitante que ce qu’il avait personnellement vécu.

Cependant, comme la forteresse avait été percée de l’intérieur, il avait gagné beaucoup de temps.

Chu Guang s’était d’abord préparé à demander aux joueurs de jouer les kamikazes pour ouvrir la porte avec dix kilos de poudre noire, mais il semblait maintenant que cette dépense supplémentaire pouvait être économisée.

L’étape suivante consistait à chercher.

Personne n’était plus compétent en la matière que ses joueurs.

Après avoir reçu l’ordre, les yeux de chacun d’entre eux brillèrent d’une lumière verte et ils se précipitèrent dans la forteresse du maraudeur sans la moindre seconde de retard.

Sans parler de l’armoire placée dans la pièce, même un carreau de sol mal fixé ne leur échapperait pas !

« Qu’est-ce qu’il y a dans ce pot ? »

« Mince, ça sent mauvais. »

« Probablement de la merde. »

« Putain, il y a des têtes de gens dans ce tiroir… Ces PNJ sont vraiment flippants. »

« Une puce blanche a été trouvée sous le carrelage ! »

« A quoi sert ce truc ? Des jetons de casino ? Des objets de collection ? »

« Ça ? Bon sang, c’est du bon matériel ! Je l’ai vu dans le guide sur le forum, on peut les échanger contre de l’argent à l’entrepôt ! Un jeton peut s’échanger contre 5 pièces de cuivre ! »

En voyant ces gens en manteau bleu qui ressemblaient plus à des bandits qu’à des maraudeurs, Lena claqua la langue, et Wen, qui se tenait à côté d’elle, eut également une expression bizarre.

Les gens en blouse bleue qu’il avait vus par le passé étaient plus réservés, voire pédants ; il était vraiment rare qu’ils agissent de la sorte.

« Quelle langue parlent-ils ? »

« Je ne sais pas, je n’en ai jamais entendu parler auparavant. Mais ce n’est certainement pas une langue de cette région. »

« Sont-ils vraiment des résidents du refuge ? »

« Je ne sais pas, est-ce que quelqu’un s’en soucie ? »

« C’est tellement ennuyeux de parler avec toi. »

« C’est juste que je n’ai pas autant de questions que toi. »

Les deux mercenaires parlaient à voix basse. Les forces les plus féroces de cette zone avaient été anéanties, et personne ne les dérangerait en cette seconde partie de la nuit.

Non loin de ces joueurs, Hein et Chu Guang discutaient également de façon amicale, discutant de la façon de diviser les profits de cette grosse affaire.

« Il y a 7 morts de mon côté… je ne dis pas ça, en fait, il y en a 8. Il y a aussi un infortuné dont le bras a été coupé par le chef des maraudeurs. Il a perdu trop de sang et n’a pas pu être sauvé. »

« Gasp… C’est, c’est vraiment terrible. » Hein haleta, exprimant son choc et son regret avec une expression choquée.

Il ne savait pas combien de personnes il y avait dans l’avant-poste, mais il estimait qu’il devait y en avoir moins d’une centaine. Perdre autant de personnes dans cette bataille équivalait à une réduction de 10% de la population totale. Le coût était en effet un peu élevé.

« … Mais ne sois pas trop triste. Des gens meurent tous les jours dans les Terres désolées. Ce genre de perte est inévitable. L’année dernière, j’avais quatre gardes du corps, mais cette année, il ne m’en reste plus que deux. »

Hein soupira et dit d’un ton réconfortant : « Au moins, leurs sacrifices ont apporté la paix, et ceux qui ont survécu, y compris tous les survivants de cette région, les remercieront. »

« Ils nous dédommageront plus tard, mais pour l’instant, nous ne discutons pas de ça. » Chu Guang regarda Hein et continua, « Tu as probablement mal compris ce que je voulais dire. Je n’ai pas cherché à vous réconforter, mais je t’ai plutôt informé que nous voulions un plus grand partage. »

Hein fut surpris.

Il fut incapable de réagir pendant un moment.

« Ah, d’accord… Je veux dire, pas de problème. Mhm, c’est ce que tu mérites, mon honorable ami. »

Chu Guang acquiesça. « Très bien, alors nous pouvons parler de la façon de le diviser. »

Les deux mercenaires se regardèrent en silence, n’osant pas parler, n’osant que se regarder dans les yeux.

C’est la première fois que je vois une personne en manteau bleu aussi cruelle.

‘Je parie que c’est aussi la première fois pour notre chef.’

‘C’est un dirigeant.’

‘Il est impitoyable. Mais j’aime ça.’

…

Vingt-neuf maraudeurs avaient été capturés dans le parc de la zone humide, dont dix avaient été gravement blessés. Il est probable qu’ils ne pourraient pas survivre cette nuit.

Il y avait environ 30 personnes dans les cellules souterraines des maraudeurs. En comptant les deux jeunes soldats du maraudeur qui venaient d’être enfermés, il y avait un total de 32 personnes, mais la moitié d’entre elles étaient gravement blessées, et certaines étaient sur le point de mourir, l’air misérable.

D’après la négociation entre Chu Guang et Hein, tous les maraudeurs pouvaient leur être livrés, qu’ils soient légèrement ou gravement blessés. En échange, Hein devait lui fournir un lot de marchandises de même valeur.

Il y avait 31 maraudeurs captifs.

Sans monnaie unifiée, il était difficile d’estimer le prix exact. Par conséquent, Chu Guang utilisa simplement le « gros sel », une spécialité de la ville de la Rivière Rouge, comme équivalent et lui fit payer 20 kilogrammes de gros sel par captif.

Lorsque Chu Guang avait échangé de la viande séchée contre du sel auprès de Sun Shiqi, près de trois kilogrammes de viande avaient été échangés contre un kilogramme de sel. D’après ce taux, cela équivalait à 60 kilogrammes de viande séchée par personne.

Il pensait que c’était raisonnable.

Même si Hein ne pensait pas à la viande séchée, le prix de la transaction lui paraissait tout à fait acceptable.

Un ouvrier fort n’avait besoin que d’un peu d’entraînement, et s’il était vendu aux propriétaires de mines de la ville de la Rivière Rouge, il n’y avait pas de problème pour doubler ou tripler le prix.

Les captifs handicapés n’étaient pas un problème. La ville de la Rivière Rouge manquait de nourriture, mais pas de crème nutritive. Après les avoir nourris jusqu’au début du printemps de l’année prochaine, certaines personnes seraient intéressées par l’achat de leurs organes, s’ils étaient encore en vie à ce moment-là.

Le seul problème était que Hein n’avait pas beaucoup de marchandises sur lui.

Cette fois-ci, pour faire la dernière vente avant l’hiver, il n’avait emporté que de la monnaie forte de Qingquan, c’est-à-dire des jetons en plastique.

Il n’y avait pas de problème pour acheter deux ou trois ouvriers solides avec le nombre de jetons qu’il avait, mais en acheter 30… c’était encore un peu irréaliste.

Hein essaya de faire un dernier effort, regardant Chu Guang et disant, « Nous n’avons rien apporté avec nous. Mais je peux utiliser ma crédibilité pour garantir que j’apporterai ce que j’ai promis au printemps prochain ! »

Chu Guang ricana. « Tu crois que je te croirais ? Si tu as de la crédibilité, nous ne resterons pas ici à parler affaires. Quoi qu’il en soit, la ville de la Rivière Rouge n’est qu’à deux jours d’ici. Tu peux retourner la chercher maintenant. »

Hein s’exclama, choqué. « Tu es fou, c’est l’hiver maintenant ! Et il neigeait il y a quelques heures ! Tu me demandes vraiment de retourner à la ville de la Rivière Rouge et de revenir ? »

Chu Guang dit avec indifférence. « Ce n’est que le début de l’hiver, et ce n’était qu’une averse tout à l’heure. La température à la surface n’est même pas descendue en dessous de zéro. Tu appelles ça de la neige ? Tu n’as pas eu peur de venir à mon avant-poste en tant qu’artisan de la paix, mais tu t’inquiète de ce risque ? »

Ramener deux ou trois personnes, ou trente ?

Les occasions de faire ce genre d’affaires ne seraient pas nombreuses.

Après avoir pesé le pour et le contre, Hein prit rapidement une décision.

En principe, aucune caravane n’était disposée à faire des affaires en ce moment.

Mais lorsque les avantages l’emportent sur les risques, les principes n’étaient que des principes.

Chu Guang était satisfait de sa décision.

Après tout, s’il n’était pas d’accord, la potence de la justice serait à nouveau occupée.

Il lui était impossible de retirer de la nourriture précieuse pour nourrir ces maraudeurs, et les avantages d’une telle démarche étaient bien moindres que de les transformer en matières premières pour déclencher la quatrième catastrophe naturelle.

Ces gens étaient par nature désobéissants à la discipline. Il était courant d’être paresseux au travail. Il faudrait beaucoup de temps et de main-d’œuvre pour les apprivoiser, et même si l’apprivoisement réussissait, ils seraient bien pires que les joueurs.

Alors pourquoi s’en préoccuper ?

Bientôt, il serait en mesure d’ouvrir l’étage B2.

À ce moment-là, il y aurait plus de qualifications pour le test alpha afin de satisfaire les joueurs tant attendus.

…

Après avoir discuté de la répartition des trophées, Chu Guang ordonna aux joueurs de se rendre dans les cellules souterraines afin de libérer de l’espace à l’intérieur et de le laisser aux maraudeurs de l’usine de briques.

Lorsque la porte des cellules souterraines fut ouverte, l’odeur nauséabonde qui s’en dégageait suffoqua presque les deux joueurs qui l’avaient ouverte. Ce n’est qu’après avoir laissé l’air frais circuler un moment qu’ils allumèrent la torche et retournèrent à l’intérieur.

Les murs de pierre profonds et lugubres étaient couverts de taches gluantes. De temps en temps, des cafards gros comme des poings humains rampaient sur le sol, et des souris grosses comme des chaussures se battaient entre elles pour un cadavre en décomposition.

Les hommes et les femmes qui avaient des chaînes aux pieds et aux mains regardaient d’un air absent les personnes qui apparaissaient à l’entrée des cellules souterraines. Leurs yeux ne brillaient pas et il n’y avait qu’une poignée de personnes avec des membres complets. Certains avaient des insectes gros comme des pouces qui rampaient sur eux, mais ils s’en moquaient.

[Roi Elfe Riche] ne put se retenir et vomit sur place. « Je n’accepterai plus jamais ce genre de quête la prochaine fois. »

[La Taupe en Fuite] était meilleur, il riait même et raillait Roi Elfe Riche, « Tu ne m’as pas supplié de venir ? »

« … Je pensais trouver ici une petite Klee blessée. »

« Bonjour ! Admin ! Comment puis-je contacter la police ici ? »

Voyant les deux personnes s’avancer, [Irene], qui se dirigeait vers la porte, resta immobile avec une expression étrange sur le visage, comme s’il avait peur d’entrer.

« Je peux vous aider à garder l’arrière. Il se peut qu’il y ait encore des maraudeurs. Nous devons être prudents. »

Roi Elfe et Taupe se regardèrent, sourirent à l’unisson et regardèrent ensemble le bon frère.

« Pas besoin, mon frère, viens avec nous. »

« La tâche est récompensée par 5 pièces d’argent. Nous devons faire sortir les gens. »

« C’est vrai », dit Frère Roi Elfe Riche en attrapant Irene qui s’apprêtait à s’enfuir, et en souriant, « Allez, mec, il n’y a pas de maraudeurs ici. »

« Lâchez-moi ! Ahhhhhh ! »

Il fallut beaucoup de temps pour faire remonter tous les prisonniers des cellules souterraines à la surface, tout en continuant à chercher du butin de l’autre côté.

Les joueurs qui cherchaient le butin avaient presque mis toute l’usine de pneus sens dessus dessous.

Ils n’avaient pas seulement pris les objets qui semblaient précieux au premier coup d’œil, mais aussi les casseroles, les tables, les chaises et les bancs utilisés par les maraudeurs pour manger.

À ce propos, un incident inattendu s’était produit.

Lorsque les joueurs avaient fouillé la chambre du chef des maraudeurs, ils y avaient trouvé un outil de torture en bois. Sur l’instrument de torture était accroché un clone déjà refroidi. Sa peau claire était couverte de taches et de cicatrices.

Chu Guang se souvenait d’elle. C’était la fille qu’un tireur de caravane avait sortie de la caravane à l’entrée de la rue Bett pendant que Liszt et Charlie discutaient affaires.

Pourquoi le clone acheté par la vieille sangsue est-il apparu dans le camp du clan MainSanglante ?

Chu Guang se caressait le menton, perdu dans ses pensées.

Il y avait de nombreuses possibilités dans son esprit, certaines sérieuses, d’autres moins.

Les quatre joueurs qui l’avaient suivi dans la pièce chuchotaient derrière lui.

« Ce jeu n’est pas PG-13 ? »

« Oui…ah… ? »

« Alors pourquoi y a-t-il du contenu R18 ? »

« R18, mon cul ! C’est ce qu’on appelle les ‘paramètres d’arrière-plan’, d’accord ? Tu comprends ce que c’est ? Mais encore une fois, je dois aller sur le site officiel pour faire l’éloge de ce paramètre lorsque je suis hors ligne. Ce jeu est vraiment très détaillé. J’espère que cela ne sera pas supprimé lors de la future phase de bêta publique. »

« Je doute que nous puissions y jouer. Peut-être pourrons-nous aller sur le serveur international pour jouer. »

« Cependant, notre administrateur est tout à fait décent. Il est vraiment rare d’avoir un PNJ aussi juste, équitable et gentil dans ce désert où les cœurs des gens sont plus froids que la glace. »

Cette phrase avait été approuvée à l’unanimité par les joueurs.

Il s’agissait de l’opinion sincère des joueurs. D’après les nombreux détails qu’ils avaient vus pendant le jeu, ils avaient pu constater que leur administrateur était un leader charismatique.

Sinon, pourquoi la propriétaire du magasin d’armes le regarderait-elle toujours en secret ?

En entendant la conversation entre les joueurs, Chu Guang gloussa.

Bien sûr.

Si j’étais une personne normale, le clone suspendu à cet instrument de torture serait vous. Comment pensez-vous que ces « marchandises » sont produites ?

Il prit un morceau de tissu et le jeta sur elle, puis regarda les joueurs derrière lui.

« Descendez cette pauvre femme et emmenez-la. »

« Si nous la laissons ici, ses restes ne serviront qu’à nourrir les cafards. Il vaut mieux utiliser ses restes pour rallumer le feu de la civilisation. »

« De plus, veuillez fouiller cette pièce avec soin et me signaler immédiatement tout ce qui est étrange. »

« Faites attention aux pièges. »

Les quatre joueurs dirent avec beaucoup d’entrain.

« Oui, Monsieur ! »

À la recherche de butin !

Fouiller les coffres des PNJ !